L’IEDH regroupe un potentiel d’expériences professionnelles et humaines de formateurs et de consultants engagés eux-mêmes dans l’action locale, l’éducation populaire, la coopération interculturelle, le développement personnel… et plus généralement dans la vie sociale et associative. Tous munis d’une solide formation initiale, d’une expérience humaine riche et variée et d’une acquisition continue de compétences, les intervenants de l’IEDH associent la compétence professionnelle à la culture militante.
Mais quel regard portent-ils eux-mêmes sur leur engagement au sein de l’IEDH ?
« S’adapter en permanence aux besoins collectifs et aux besoins de chaque individu »
La vision de Marie-Ségolène Boiron, animatrice sur les formations à l’écoute, à l’animation de groupe, et à la communication parents-enfants
Etre formateur à l’IEDH, c’est accompagner les associations dans la valorisation et la professionnalisation de leurs bénévoles. C’est voir dans cet engagement bénévole un lieu de découverte, d’élargissement, d’approfondissement de nouvelles compétences et des outils au service de la mission qui leur est confiée. C’est donner du sens à leur mission et nourrir la joie de se donner.
Etre formateur à l’IEDH, c’est accompagner les personnes sur un chemin de croissance personnelle et de connaissance de soi au service des autres, dans leur famille mais aussi dans leur environnement amical, professionnel ou associatif.
Etre formateur à l’IEDH, c’est vivre de ce que l’on transmet, c’est croire que la cohérence est le meilleur outil du formateur.
Etre formateur à l’IEDH, c’est valoriser et s’appuyer sur l’expérience des personnes comme socle de leur propre progression et de la progression du groupe.
Etre formateur à l’IEDH, c’est s’adapter en permanence aux besoins collectifs, mais aussi aux besoins de chaque individu ; c’est remettre en question ses outils et ses apports mais aussi actualiser ses compétences.
Etre formateur à l’IEDH, c’est enfin savoir (collectivement) confronter, questionner, adapter ses contenus et outils, analyser et faire progresser sa posture de formateur.
« Une passion et une mission»
Odile Cavaro, animatrice sur les formations à l’animation de groupe, à la communication et à l’ennéagramme
Etre formateur à l’IEDH, c’est avant tout une passion : la passion de transmettre de partager mon intérêt pour les relations humaines. C’est la joie de contribuer à l’amélioration des relations entre les hommes.
Etre formateur à l’IEDH, c’est aussi une mission : celle de transmettre un savoir-faire un savoir-être.
Etre bénévole est un premier pas, mais la bonne volonté ne suffit pas et il est nécessaire d’acquérir des compétences adaptées à son engagement. J’ai moi-même eu la chance de bénéficier de formations dispensées par l’IEDH dans le cadre de mon engagement avec les chantiers éducation.
Etre formateur à l’IEDH, c’est enfin contribuer à un service pour la société. Les associations représentent aujourd’hui un pivot essentiel dans le fonctionnement de notre pays. Contribuer à former des bénévoles permet de renforcer les liens entre tous.
Le grand plus de l’IEDH est de pouvoir travailler en équipe. S’engager à L’IEDH, c est allier la richesse de nos compétences et s’enrichir tous ensemble autour de moments forts.
« Accompagner et transmettre au plus près des besoins et des valeurs de chacun »
Evangeline Masson-Diez, nouvellement arrivée au sein de l’IEDH
Riche de quelques mois / semaines de recul, je dirais qu’être formateur à l’IEDH, c’est échanger et progresser au sein d’une équipe de professionnels. C’est accompagner et transmettre aux équipes de bénévoles les dynamiques associatives auxplus près de leurs besoins et de leurs valeurs. Enfin, c’est faire évoluer ses pratiques et affiner ses connaissances en étant proche du terrain et des acteurs.
« La fierté d’aider les autres »
Marie de la Rivière, formatrice à l’IEDH et spécialiste pour les thèmes des enfants précoces, de l’organisation du temps et de la gestion du temps
Être formateur à l’IEDH, c’est quoi pour moi ?
Et bien, c’est beaucoup de fierté !
Durant des années, en suivant les formations IEDH, j’étais admirative des formatrices et formations. Toujours pertinentes, profondes, humaines. Le jour où j’ai moi-même pu devenir formatrice pour l’IEDH, cela a été une grande fierté.
Je suis fière d’être formatrice dans un organisme avec de telles valeurs. Je suis fière de voir mettre à disposition de familles, de bénévoles des outils professionnels auxquels ils n’ont pas forcément accès, et qui leur sont profitables. Je suis fière de voir œuvrer pour les familles, pour les aider dans ce monde de plus en plus chaotique.
« L’homme et tous les hommes »
Guillaume Douet, directeur de l’IEDH
Je suis formateur à l’IEDH pour soutenir l’action des acteurs associatifs. J‘ai la profonde conviction que notre société repose actuellement beaucoup sur des initiatives citoyennes. Malgré une morosité ambiante, je peux voir presque quotidiennement des hommes et des femmes qui se lèvent pour soutenir les plus précaires, les plus fragiles, les personnes isolées ou les parents parfois déboussolés.
Je suis formateur à l’IEDH pour les rencontrer, les aider à échanger ; mais aussi pour faire passer des idées d’une association à une autre, d’une région à une autre, du secteur social au bénévolat.
J’apprécie l’esprit d’équipe de l’IEDH. Nous sommes nous-mêmes une association avec tout ce qui va autour : l’implication, la générosité, le débat et la complémentarité.
J’ai découvert la devise reprise par l’IEDH « L’homme et tous les hommes » alors que je n’étais âgé que de 20 ans. Elle était citée dans la charte de l’engagement des chefs scouts et m’a immédiatement profondément marquée. Je la trouve universelle car elle peut parler à chacun d’entre nous, mais je la trouve surtout très actuelle à l’heure où nous nous devons d’être encore plus en capacité d’ériger des ponts et non des murs entre nous tous.