par Hélène de Monclin, formatrice IEDH.
Ecouter n’est ni conseiller ni apporter des solutions… et pourtant lorsque nous prodiguons un conseil nous le faisons avec les meilleurs intentions du monde et nous espérons que l’autre gagnera du temps en écoutant nos conseils ! Alors pourquoi cela ne fonctionne pas ? C’est la question de l’altérité qui se cache derrière.
Mes conseils ou mes solutions sont les miennes. La personne que j’écoute aura ses solutions, à son rythme, et les élaborera peut-être en s’exprimant sur sa difficulté. Elle pourra évaluer elle-même ce qu’elle a jusqu’à présent mis en œuvre pour résoudre son problème.
Toute sa dignité est aussi dans cette manière de résoudre sa difficulté.
Je suis un temps sur son chemin, à ses côtés et je respecte son rythme, ses idées et sa manière personnelle d’avancer.
Si ce sujet vous intéresse… si vous souhaitez progresser dans votre écoute …
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par Hélène de Monclin, formatrice IEDH.
L’écoute de l’autre exige d’être tout entier tourné vers l’autre. Elle sous-entend une disponibilité totale à l’autre. Si mon intention est d’être disponible et d’écouter l’autre, je me tourne « généreusement » vers lui … alors pourquoi dit-on en formation qu’il faut aussi être à l’écoute de soi ?
La parole de l’autre me touche, me transforme, m’interpelle, et je suis traversée par des émotions, des sentiments au moment où j’écoute.
Il est nécessaire de faire des allers-retours entre celui que j’écoute et moi-même pendant que j’écoute l’autre pour être conscient de l’impact de l’autre sur moi, conscient de l’éventuel jugement qui me vient et que je vais repousser pour accueillir l’autre tel qu’il est, conscient des éventuelles résonances de la parole de l’autre avec mon histoire et éviter ainsi de la projeter etc.
Notre condition humaine nous oblige à considérer toutes les dimensions de notre personne au moment où l’on est tourné vers l’autre : nous ne sommes pas des robots 😊
Si ce sujet vous intéresse… si vous souhaitez progresser dans votre écoute …
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Ce nouvel exercice de l’IEDH (2020-2021) a, de nouveau, été fortement marqué par la crise sanitaire.
Le nombre de jours animés s’est stabilisé à 233 jours (226 en 2029-2020; 296 en 2018-2019). La satisfaction des stagiaires reste excellente !
Notons une part croissante des formations à distance ( 105 jours)
Cet indice de satisfaction a été calculé en fonction des formulaires « à chaud » distribué à chaque participant.
- « Formation souple, s’adapte aux besoins exprimés par le groupe » Anne, Le Chesnay, Juin 2021
- « Formation enrichissante. je suis heureux et satisfait de l’avoir suivie » Benoit, en visio, Avril 2021
Tous les stages, quels que soient leurs formats, sont très appréciés par les participants. Cela provient souvent du travail de préparation fait avec les « commanditaires ». Nous intervenons majoritairement pour des associations et il est indispensable d’adapter les stages aux réalités de terrain.
- « Documents fournis clairs et constructifs » Clémence, Dijon, Mars 2021
- « La partie théorique et l’expérience de la formatrice étaient TOP ! » Dorothée, Paris, Mai 2021
- « Exercices en lien avec l’actualité, grande liberté de participation » Samuel, Paris, juin 2021
- « Bon rythme, surtout avec une indication fiable du temps à consacrer » Formation à distance juin 2021
- « La formatrice maitrise bien son sujet sans nous enfermer » Blandine, Nivolas, Mars 2021
- « J’ai apprécié l’interaction du groupe, la bienveillance » Bérengère, Guérande, Juin 2021
- « Temps d’échanges riches ! Enfin un espace de travail collectif, institutionnel dans cette association locale » Mireille, Caen, Juin 2021
C’était un axe de travail majeur pour notre équipe : comment favoriser les échanges, la construction collective et l’associativité en cette période de pandémie ? En présentiel ou en distanciel, l’objectif a été atteint.
- « le froid de la salle » Stéphanie, Courbevoie, Mars 2021
- « Connexion internet instable » Jean-Nicolas, Formation à distance, Juin 2021
La très grande majorité de nos formations se déroulent dans des salles fournies par les clients. Les évaluations restent positives mais nous remarquons de nombreux commentaires sur
- le manque de chauffage. C’était déjà le cas en 2019-2020.
- les repas : les formules collectives du type « repas partagés » restent très appréciées. ils permettent plus facilement la partage et la manifestation des talents culinaires. Il a souvent fallu être inventif pour permettre ce type de repas en tenant compte des contraintes de la pandémie.
La seconde partie de notre questionnaire « à chaud » concerne l’atteinte des objectifs pour chacun et chacune. Les stagiaires sont invités à s’autoévaluer lors des modules d’une ou plusieurs journées.
Les résultats sont satisfaisants. L’impact de ces stages courts est positif et permet souvent aux stagiaires de commencer un changement de posture ou la mise en œuvre de méthodes nouvelles.
De nombreux bénévoles s’engagent désormais à distance.
C’est une réelle opportunité pour les associations de rejoindre de nouveaux profils d’acteurs associatifs. En revanche, cela nécessite de repenser les modes de fonctionnement et aussi les propositions de formations.
L’IEDH peut vous accompagner sur deux aspects :
- Les formations à distance pour les télébénévoles,
- Les formations pour développer le bénévolat à distance.
Institut de formation associatif, certifié QUALIOPI, l’IEDH est membre de la plateforme télébénévolat.org .
1 : Les formations à distance pour les télébénévoles
Notre équipe propose depuis 2019 des formations à distance en fonction des besoins de chaque association.
Ces offres sur mesure se coconstruisent en prenant en compte la disponibilité et les habitudes informatiques de chacun.
Actuellement, voici nos deux principales solutions :
-
les modules animés en visio, avec des contenus similaires aux stages présentiels et des méthodes d’animation adaptées.
- Alternance d’ateliers en sous-groupes, d’exercices, de jeux et de séquences tous ensemble.
- Ces modules sont « synchrones », c’est à dire qu’un certain nombre d’apprenants participent, en même temps, à une session de formation.
- Avantages : simplicité et rapidité de mise en œuvre, coût identique aux stages présentiels.
- Voir ici les domaines de formations envisageables.
-
les modules sur la plateforme d’apprentissage elearning.iedh.fr .
- Les formations sont « asynchrones », elle comprennent des modules que les stagiaires peuvent suivre à leur rythme, en différé, selon leur disponibilité.
- Ces stages nécessitent une ingénierie importante. Nous coconstruisons ensemble les contenus et méthodes pour du véritable « sur-mesure ».
- Avantages : flexibilité pour les stagiaires, outil très pertinent pour les formations récurrentes de type « accueil d’un nouveau bénévole », « accueil d’un nouveau responsable » …
2 : Les formations pour développer le bénévolat à distance
Nous intervenons très régulièrement auprès de nombreuses associations pour former les salariés ou les bénévoles en responsabilité à mieux animer, développer et coordonner le bénévolat.
Voir ici les formations « Vie associative, animation et management« .
Témoignages de participants :
« Formation de très bonne qualité avec des outils adaptés ! » (William S., de Strasbourg)
« Les différents temps d’échange et d’exercice ont vraiment permis d’avoir une bonne animation. » (Matthieu G., Paris)
« Génial de partager avec des collègues qu’on ne connait pas assez. » (Anthony M., Nancy)
Voir ici notre article sur le télébénévolat.
Pour toute question, n’hésitez à nous joindre : page contact.
L’Iedh regroupe un potentiel d’expérience professionnelle et humaine de formateurs et de consultants engagés eux-mêmes dans l’action locale, l’éducation populaire, la coopération interculturelle, le développement personnel… et plus généralement dans la vie sociale et associative.
Munis d’une solide formation initiale, d’une expérience humaine riche et variée et d’une acquisition continue de compétences, les intervenants de l’Iedh associent la compétence professionnelle à la culture militante.
Signe de la vitalité de la vie associative française, notre équipe est répartie sur de nombreuses régions françaises. ( Voir carte ci-jointe)
Nos partenaires font appel à nous pour animer des formations en présentiel de Brest à Strasbourg et de Dunkerque à Perpignan.
(sans compter Bruxelles, Milan, Luxembourg…)
Nous leur conseillons régulièrement de localiser les stages en proximité des bénévoles et des salariés des associations.
Nous avons donc le plaisir de découvrir des salles de formations dans des villages ou petites villes sur l’ensemble du territoire.
Récemment, des bénévoles d’une association en Creuse remerciaient chaleureusement la formatrice et leurs responsables de leur avoir permis de suivre un stage sur place. A l’heure de la suppression de nombreux services publics et de lignes de trains, ce stage valorisait leur action dans un territoire rural.
Notre équipe reste à votre service pour vos futurs stages à Roz-sur-Couenon, Nimes, Trie-Chateau, Macon… mais aussi à Paris.
“La formation doit être envisagée comme un outil au service du développement du bénévolat.”
Lorsqu’ils intègrent une association, les bénévoles sont déjà riches de leurs expériences de vie ou de bénévolat personnelles. En permettant l’acquisition de nouvelles compétences et le partage de nouvelles connaissances, la formation proposée par l’association a pour vertu de renforcer et de consolider la cohérence et la cohésion de l’équipe toute entière.
Aujourd’hui, des besoins en formation sont exprimés, tant par les bénévoles, que par les responsables d’associations. 70% de ces derniers considèrent en effet leurs bénévoles disposés à suivre des formations. Une perception vérifiée puisque 80% des bénévoles estiment eux-mêmes que la formation (quelle que soit sa forme : autoformation, formation présentielle, conseils, tutorat…) est nécessaire.
Il arrive que certains responsables s’interrogent sur l’intérêt ou l’utilité de proposer des formations dès le début d’une mission à un bénévole.
Pourtant, les premiers mois sont souvent les plus décisifs car c’est le moment où la motivation est la plus forte. C’est aussi une période durant laquelle le bénévole peut être amené à se poser de nombreuses questions. Souvent, il trouve ses réponses par le biais d’auto-documentation ou n’hésite pas à demander des conseils auprès d’anciens bénévoles.
La formation représente ici un vrai plus. Les formateurs, confrontés à de multiples questions ou situations à travers les bénévoles qu’ils forment toute l’année, peuvent alors apporter des réponses précises avec un regard et un recul différents.
L’intérêt réside également dans le collectif : une formation représente avant tout un groupe de travail rassemblant des personnes issues de tout horizon. La mise en commun des expériences de chacun peut alors faire émerger de nouvelles idées et une dynamique enrichissantes pour le groupe tout entier.
Certes, les bénévoles n’adoptent pas toujours une posture identique à celle des salariés vis-à-vis de la formation. Ainsi, la formation est-elle souvent perçue comme un passage obligé pour être à la hauteur du projet associatif dans lequel on souhaite s’investir. Or, la formation doit être envisagée comme un outil au service du développement du bénévolat. En donnant des clés pour mieux comprendre au nom de quoi on agit, elle favorise la prise de responsabilités et encourage un engagement plus durable de la personne. En rassurant et en motivant, elle contribue ainsi à une “professionnalisation” et à une fidélisation supérieure des bénévoles.
Enfin, écouter les besoins en formation d’une équipe, c’est aussi lui témoigner de façon concrète l’importance qu’on lui accorde et participer activement à l’épanouissement personnel de chacun de ses membres.
Du point de vue des bénévoles, le fait d’avoir accès à une formation de départ peut aussi être très rassurant. Bien souvent, ils ne connaissent personne au sein des associations qu’ils contactent ; ils se sentent alors plus à l’aise à l’idée de passer par une phase d’« accompagnement » qui débouchera sur des rencontres et un partage d’expérience.
Témoignage d’une bénévole sensible à l’importance de la formation
« J’ai souvent hésité à répondre à des offres de bénévolat. J’avais envie de me rendre utile mais j’avais peur de ne pas être à la hauteur. Et puis, un jour, je suis tombée sur une annonce qui indiquait « formation assurée en début de mission ». Cela a représenté un réel déclic pour moi et c’est vraiment ce qui m’a poussé à décrocher mon téléphone ».
La formation génère aussi différents types de satisfactions chez les bénévoles : en tête, la satisfaction d’être efficace et utile.
Source : Baromètre d’opinion des bénévoles – France Bénévolat – 2011 / Enquête ORA (Opinion des Responsables Associatifs) réalisée par Recherches &
Solidarités du 11 janvier 2011 au 1er février 2011 auprès de 876 dirigeants bénévoles / Enquête BOB (Baromètre d’Opinion des Bénévoles) organisée par Recherches & Solidarités du 11 janvier 2011 au 11 février 2011 auprès de 2353 bénévoles, âgés de 18 ans et plus.
Le covid-19 a accéléré le développement des formations à distance, mais les associations peuvent trouver d’autres avantages à développer cette offre !
De nombreuses associations existent sur des territoires étendus : départements; régions; France entière; international.
Les différents acteurs associatifs (salariés, bénévoles, volontaires, administrateurs) peuvent ainsi être très éloignés et très proches.
Éloignés par la distance mais proches par les préoccupations communes ; ils sont intrinsèquement reliés par le projet associatif.
La prise en compte des déplacements est un facteur essentiel de l’animation de réseau. Il s’agit souvent de réduire les frais et les temps nécessaires aux transports tout en maintenant une cohésion et en dynamisant la vie associative.
Les atouts des formations à distance pour les associations
- Prendre en compte la disponibilité des bénévoles
- Engagés de manière variées ( + souple, + ponctuelle), l’obstacle premier à se former est le manque de disponibilité
- Réduire les frais et temps de déplacement.
- Gagner en réactivité.
- Développer les formations-actions
- Mixer davantage les groupes de formation. Les participants de modules à distance privilégient davantage l’horaire de formation que le lieu. Cela favorise l’échange de pratiques entre membres d’équipes éloignées.
- Contexte Covid :
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- garder le lien avec les « anciens »
- Faciliter l’intégration des nouveaux et ne pas les laisser dans l’incertitude
- réagir rapidement aux nouvelles problématiques
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Les limites des formations à distance pour les associations
Il nous parait essentiel que les associations continuent de proposer des modules « présentiels ».
Lors des stages, se vivent aussi des dimensions de la vie associative : chercher ensemble, se former à plusieurs, se rencontrer, débattre….
Pour développer les « soft skills » ou compétences relationnelles, certaines personnes privilégieront les stages « in situ ».
L’IEDH accompagne les dirigeants associatifs pour trouver le bon équilibre « distanciel/présentiel ».
Cela passe aussi parfois par des formations mixtes, en « blended learning ».
Propositions de l’IEDH
Depuis janvier 2019, nous proposons :
- des parcours de formation elearning sur une plateforme dédiée
- créations de stages sur mesure
- alternance classes virtuelles et apprentissages personnels
- méthodes variées ( vidéos, jeux, tests, textes…)
- des modules par visioconférence
- Exemples de modules de 2 h :
-
- « introduction à l’écoute active » ;
- accueillir de nouveaux bénévoles
- connaissance des publics à la rue
-
- des Groupes d’analyse de pratique
- Exemples de modules de 2 h :
Contact : Guillaume Douet g.douet@iedh.fr
La nouvelle édition du BOB, Baromètre d’Opinion des Bénévoles initié par Recherches & Solidarités, porte cette fois-ci sur le numérique.
(L’IEDH est partenaire de cette enquête )
Donnons la parole aux bénévoles pour faire bénéficier les associations des bonnes pratiques et pour tenir compte des faux pas éventuels.
Nous comptons sur le plus grand nombre d’entre vous pour nous aider dans cette démarche ! Elle est à la croisée des attentes de nombreux bénévoles qui voudraient s’engager plus et des besoins des associations pour accomplir leurs missions.
Cette enquête, anonyme, ne vous prendra que quelques minutes : cliquez ici.
France Bénévolat et l’IEDH ont signé le mardi 4 juin un partenariat pour développer leurs offres de formation au service du monde associatif.
Pour Sandrine Dusonchet, vice-présidente de l’IEDH, « il s’agit d’un nouvel essor pour continuer le développement de notre institut de formation assez atypique, spécialiste du monde associatif depuis 20 ans ». L’équipe de formateurs pourra « échanger et éventuellement former des intervenants de France Bénévolat. »
« Nous partageons les mêmes valeurs autour de l’engagement associatif » ajoute Didier Defer, président national de France Bénévolat (FB) .
Actuellement, certains centres de FB dispensent des sensibilisations ou des formations, notamment sur la « GRH (gestion des ressources humaines) bénévole ». Ils peuvent intervenir auprès de responsables associatifs, salariés ou eux-mêmes bénévoles.
« En complément de ces actions de terrain, l’IEDH pourra probablement répondre à d’autres besoins, par exemple avec des modules faits pour les bénévoles eux-mêmes, pour les aider à se positionner dans leur engagement » poursuit Sandrine Dusonchet.
Voir ici, les stages proposés par l’IEDH dans le domaine Vie associative, animation et management.
Formations à la GRH bénévole de france Bénévolat.
Elisabeth Pascaud, référente formation à France bénévolat a initié ce rapprochement. Pour elle « la mission de France Bénévolat, c’est de développer le bénévolat, notamment en aidant les associations à associer les bénévoles à leur projet, donc à chercher des bénévoles, les accueillir, leur donner envie de s’engager avec elles dans un parcours qui réponde à leurs aspirations, à leurs valeurs et à leurs possibilités.
Pour France Bénévolat, ce partenariat avec IEDH est une manière de démultiplier cette aide et d’en diversifier les modalités. »
Les deux associations ont en commun d’agir dans toutes les régions de France pour des associations très variées.
Chacune a son domaine d’expertise, l’engagement associatif pour FB, la formation des acteurs bénévoles ou salariés pour l’IEDH. Le croisement de ceux-ci amélioreront surement la qualité de toutes leurs interventions.
Contact : Guillaume Douet, directeur de l’IEDH , g.douet@iedh.fr
L’IEDH s’est associé à Recherches et Solidarités pour réaliser une étude sur les besoins d’accompagnement des associations.
En s’appuyant sur de nombreuses enquêtes et sur un réseau d’experts très compétents, notre partenaire nous permet de mieux comprendre les besoins actuels des dirigeants associatifs.
Accompagnant nous-mêmes de nombreuses associations de tailles et d’actions différentes, nous enrichissons cette étude par notre regard d’acteur de cet accompagnement.
Télécharger ici l’analyse et la synthèse
Cette étude présente un état des lieux de l’accompagnement des associations sous trois angles :
- l’accueil et l’animation des bénévoles ;
- la formation et le développement des compétences bénévoles ;
- la recherche et le recrutement de nouveaux bénévoles.
Quels sont les besoins exprimés ?
Quels sont ceux qui sont satisfaits en interne, ceux qui ont trouvé leurs réponses dans un accompagnement, ceux qui restent en attente ?
Et avec quels partenaires les associations ont-elles été accompagnées et souhaitent-elles l’être pour demain ?
Ci-dessous quelques formations proposées par l’IEDH:
- animation et management associatif
- soutien des bénévoles et des volontaires
- connaissance des pauvretés et de l’exclusion
- accueil, écoute et accompagnement
Guillaume Douet, directeur de l’IEDH